Lundi 21 janvier 2008 à 21:35

T'es beau,
T'es beau parce que t'es courageux,
De regarder dans le fond des yeux,
Celui qui te défie d'être heureux.

[...]

C'est comme une rengaine,
Quelques notes en peine,
Qui forcent mon coeur,
Qui forcent ma joie,
Quand je pense a toi


Il y a ton sourire qui se lève
C'est comme une lueur d'espoir
Il y a l'ombre et la lumière
Au milieu de notre trajectoire
Il fallait choisir une route
Alors on a choisi la pluie
[...]
Il y a des yeux qui me tuent
Quand tu me dis c'est fini
Il y a le vent tout en sanglot
[...]
Rien ne finira la chute
Rien ne finit l'infini

Rien ne desserrera nos mains
Rien n'éteindra l'éphémère
Nos forces, nous forcerons nos destins
Puis nous perceront les mystères



 parce que je t'aime et que c'est tout ce qu'il y a d'important !

Comme dans une bulle, ou quelque chose comme ça

Une sphère transparente qui laisse seulement passer la lumière

Une lumière douce et chaleureuse qui réchauffe nos cœurs

Ces rayons dorés qui nous entoure, qui nous protège

Comme une éclipse qui assombrit tout, d'un coup,

Mais qui est si belle, si spéciale, si unique

Si tout comme nous, comme notre amour

Puis de la lumière à flot, à torrents

Toujours cette lumière si éblouissante,

A telle point puissante qu'aveuglante

C'est comme un soleil, un soleil inébranlable

Un soleil en nous, un soleil qui vient de nous

Tout est si imprévisible, tout vient soudainement

On perd tout contrôle quand on tente de l'exprimer

On ne sait plus trop à quoi on pense réellement

Quand on est ensemble, il rayonne tant

Pourtant il brille à chaque instant, toujours

Même lorsque l'on est loin, même lorsque l'on attend

Il faut juste écouter les battements de nos cœurs

Il est là, chaleureux, beau, passionnant … amoureux

Parce que nous a 2 ans … parce que j'saurais jamais te dire à quel point je t'aime, ni même pourquoi mais j'essaye, j'essaye et je balance des mots, des vers, des phrases, je n'arrive même plus à faire des rimes car nous c'est pas quelque chose d'aussi constant et régulier qu'un poème, nous c'est de l'amour constant qui vogue au rythme des battements de notre cœur … parce que j'aime et puis c'est tout !

T'es belle quand tu m'reproches
De pas être honnête avec toi
Mais t'es belle même quand tu te trouves moche
Alors je le garde pour moi

Embrasse-moi dessus bord
Viens mon ange, retracer le ciel
[...]
Embrasser, te mordre en même temps
Enfoncer mes ongles dans ton dos brûlant
Te supplier de me revenir
Et tout faire, pour te voir partir

Viens,emmène-moi là-bas
Donne-moi la main
Que je ne la prenne pas
[...]
Mille fois entrelaçons-nous
Et lassons-nous même en-dessous

Serre-moi encore serre-moi
Jusqu'à étouffer de toi
Serre-moi encore serre-moi
Jusqu'à étouffer de toi...

Mercredi 9 janvier 2008 à 22:10

"C'est à ce moment précis que j'ai commencé à penser à thomas jefferson,... et à sa déclaration d'indépendance, ... et la partie sur le droit de chacun à la vie , à la liberté et à la poursuite du bonheur, et je me souviens m'être dit : Comment a t-il eu l'intuition de mettre l'idée de poursuite là dedans ? Comme si ... le bonheur était quelque chose que l'on ne peut que poursuivre et éventuellement ne jamais atteindre peut importe les circonstances ... Comment a-t-il su ?"
] réplique de Will Smith dans " à la recherche du bonheur" [



 
Alors soyons fou poursuivons le bonheur jusqu'à en être à bout de souffle, jusqu'à que nos poumons ne manquent d'éclater, jusqu'à que nos jambes crient grâce, jusqu'à que nos coeurs nous supplient de faire une pause ... parce que le bonheur c'est quelque chose de difficile à trouver mais encore plus à garder, battons nous pour ne pas le perdre, pour ne pas l'égarer dans un coin, pour ne pas le laisser se couvrir de poussière dans notre coeur en oubliant de l'entretenir ... parce que chaque bonheur à sa part de souffrance, de déception et de larmes, parce que souvent on fait du mal au personne qu'on aime sans le vouloir, parce qu'on regrette souvent plein de choses, parce qu'on a parfois honte de soi, parce que on arrive pas à faire des choix parce que faire un choix c'est s'éloigner d'une possibilité et que c'est peut être faire le mauvais ... parce que on a tous droit au bonheur et pour l'atteindre il faut peut être se jeter à corps et à coeur perdu dans la tornade de la vie au risque de se faire mal, de hurler, de pleurer ... soyons fou, tentons l'impossible, faire des choix et ne pas les regretter parce que notre bonheur à chacun est peut être l'une des seules choses qui n'a pas encore de prix ...


parce que au fond on a tous ( ou presque ) suffisamment de chances dans notre vie pour pouvoir se dire heureux, parce que nous devrions arreter de nous plaindre, de voir le verre à moitié vide alors qu'en fait il reste encore la moitié à vider pour étancher sa soif , parce que la vie est une suite de moments obscures puis claires, il faut juste toujours regarder vers la lumière qui par sa force éloigne toute la pénombre alentour ... pensez rien qu'une seconde à votre souvenir le plus beau et le plus cher et non vous ne ferait pas apparaître un patronus mais votre coeur sera quelque peu réchauffé et vous pourrez vous dire que la vie est belle et que la seule chose difficile c'est de ne pas l'oublier !

Samedi 29 décembre 2007 à 21:31

Tu marches dans le calme sombre de la nuit, tu retournes chez toi, la neige tombe dru autour de toi, tu marches en regardant le bout des pieds qui disparaissent peu à peu sous l'immense manteau de poudreuse qui recouvre les routes goudronnées, tu ne vois pas bien loin, tu remontes ta capuche sur ta tête sous les bourrasques du vent et tu resserres un peu plus sur toi ton écharpe, tes mains se glissent bien vite dans tes poches pour se protèger de la morsure du froid... malgrès tout il fait bon marcher en ce temps d'hiver, le paysage semble un peu plus doux de ce point de vue, les lumières des reverbères ne se distinguent presque plus, le bruit des voitures n'est plus qu'un souvenir, rien que le vent, le froid et la neige ... les éléments qui reprennent un peu le contrôle de leur terre ! tu as bien le temps de penser en marchant, tu as les yeux qui pleurent à force de bourrasque alors tu marches plus ou moins à l'aveuglette et tu penses à tous ces livres que t'as lu, ces histoires de monde parallèle, de magie, d'animaux étranges comme les dragons, de princesses, de sorciers, de chevaliers ... toutes ces histoires qui ont berçé ton enfance et te berce toujours encore pour te faire oublier la tristesse de la réalité, ces histoires dans lesquelles tu te plonges pour fuir tes soucis ! Ces aventures fantastiques où les héros endurent milles épreuves, souffrent, doivent sacrifier leur bonheur pour de plus grandes causes et même sacrifier les êtres qui leur sont chers, des êtres altruistes toujours, intelligents et en plus beaux qui se battent contre le mal, le mal qui supurre de partout, qui se glissent dans les chaumières, qui sème la discorde dans un monde qui semblait si bien pourtant au départ ... si seulement tu pouvais vivre leur vie rien qu'un jour pour échapper au quotidien qui te ronge ! si seulement tu pouvais ressembler rien qu'un peu à eux pour être quelqu'un digne d'être admiré !

La réalité est pourtant elle aussi une aventure dans laquelle le mal supurre même dans les endroits où on si attends le moins, une réalité avec un monde si vaste qu'il est plein de terres inconnues à découvrir avec des animaux étranges et de la magie, la magie de l'amour qui nous fait à tous vivre des histoires épiques ... et là tu arrives devant chez toi, tu distingues la lumière du salon à travers les voluptes de neiges qui tourbillonnent autour de toi, tu pousses la porte pour entrer dans la chaleur, il t'attends et te sers dans ces bras, tu bois un chocolat pour te réchauffer le corps et tu l'écoutes pour réchauffer ton coeur ... oui tu vis une histoire épique et tu feras de ton mieux pour ressembler aux héros de tes livres en te battant contre le mal et en explorant le monde, du moins tu feras ce dont tu es capable, c'est là le seul problème de notre monde, nos possibilités ont des limites ... la vie est éphèmère mais elle est belle tant que la terre continue de tourner apportant tour à tour son lot de chagrin, de bonheur, de peur, de colère, de changement pour qu'on ne s'ennuie pas !

Et si nous vivions un rêve fantastique ...

piix : ma soeur par elle même

Samedi 15 décembre 2007 à 20:50

La vie c'est une découverte, une découverte du monde, de soi, de l'autre ... découvrir, se découvrir, le découvrir, se perdre pour mieux se retrouver, nous perdre pour mieux nous retrouver ... pour ressentir un manque, un manque de lui, la douleur de devoir se quitter encore et encore, penser à lui à chaque instant, compter les jours, les heures, les minutes, les secondes qui restent avant de le retrouver, recompter encore et encore, et imaginer ce que il fait, l'imaginer avec une autre fille, imaginer qu' il est peut être mieux avec elle qu'avec toi, imaginer qu'il t'a oublié, avoir envie de pleurer, vouloir effacer ces images de ta tête mais tu ne maîtrises plus ton imagination et tu dévies, tu imagines des choses encore plus douloureuses... tu t'imagines qu'il a envie d'elle,tu ne veux plus penser alors tu pleures pour tout évacuer jusqu'à t'endormir d'épuissement, plus douleureux oui mais non pas parce que ces choses là sont plus importantes mais juste parce que tu as fini par admettre que tu ne pouvais pas garder tout son amour, que tu devais le partager même si c'était dur et que si tu aurais pu dès le moment où il est entré dans ta vie tu l'aurais enfermé dans une bulle de verre où toi seul peut entrer et voir, tu as admis que tu ne pouvais pas le couper du reste du monde pour le garder à toi rien qu'à toi alors tu t'accroches au reste, ces moments là où tu n'en peut plus, où tu as envie de lui à en devenir folle, où tu pourrais ne vivre que des baisers passionnés et de caresses, où tu sens son souffle rauque dans ton cou, où tu gémis doucement, où toutes choses semblent s'être figé sur place même le temps, sa peau contre la tienne, ta chaleur et la sienne, ses mains sur ton corps, vos lèvres à l'unisson, vos soupirs qui s'élèvent dans le calme alentour, vos rêves qui semblent tout à coup si réalisables et si proches ...   vos pensées, vos corps et votre âme qui fusionnent un instant ... puis ces moments si doux passés dans ses bras à parler à mi-voix, ces caresses, ces sourires, ces rires, ces regards plein d'amour, son coeur qui bat si fort contre toi, son odeur si particulière et envoutante, sa peau encore toute chaude qui te réchauffe, ses baisers si doux du bout des lèvres avec encore ce petit arrière goût de passion et tu voudrais que ça dure encore et encore, et tu voudrais que ça recommence à l'infini ... tout ça, tout ça c'est rien qu'à toi, la seule chose rien qu'à toi que tu ne veux partager avec personne d'autre même juste en en parlant alors ce soir tu as décidé d'écrire, d'écrire pour des inconnus qui peut être ce reconnaitrons dans ces mots ... ça tu ne peux pas imaginer, tu ne veux pas surtout imaginer qu'il puisse partager une telle intimité avec quelqu'un d'autre même pas un tout p'tit peu, pour toi ça serait la mort ou bien encore pire le désespoir, la jalousie, le regret, la déception ... peur de le perdre, peur qu'on te l'arrache, ... après tout nous ne sommes que des êtres humains ...

Lundi 10 décembre 2007 à 21:54

T'es-tu déjà senti dépassé par les événements ? As-tu déjà eu cette impression violente que tu ne maîtrises rien ? Ni ton existence, ni même ton humeur ?
Il y a
des sentiments que je ne maîtrise pas comme l'amour bien sûr ou la jalousie, l'envie, la colère, le chagrin ... Des sentiments qui m'engloutissent, qui m'enfoncent dans un abyme si profond que je n'en distingue pas le fond, sentiments de ne pas pouvoir s'en sortir, que tout est perdu, [que la vie n'a qu'une face et qu'elle est sombre], pourtant parfois un seul sentiment parvient à annuler tout les autres en quelque instant, ce sentiment est l'espoir, sans espoir que faire ? Si l'on a plus rien à espérer de la vie, comme celle-ci doit sembler fade, sombre, inutile, risible et superficielle et pourtant il me semble impossible de ne plus espérer ! L'espoir d'un soleil qui illumine mes journées, ou simplement d'une lune qui éclaire un peu le coté sombre de mon existence et qui me laisse l'espoir que reviendra la lumière ... pourtant l'ennui dans lequel me plonge cette attente de la lumière et parfois susceptible de m'enfoncer dans une sorte de brouillard dont plus rien ne peut me tirer si ce n'est enfin l'arrivée de la lumière, oui n'as-tu jamais eu l'impression que [une sorte de grisaille s'était déposée sur les êtres et les choses, avait tout envahi. L'impossibilité de participer. De t'intéresser à toi-même et à ce que sera ton avenir. Il t'apparaît Ô combien vain de travailler, de lutter, de faire tant d'efforts, puisque la mort pourrait t'abattre d'une seconde à l'autre et que tout pour toi s'effondrera un jour] ?? L'ennui qui me bouffe de l'intérieur, j'ai beau essayé de me bouger, de me forcer à faire des choses, mes mouvements sont si lents, comme ralenti par ce brouillard, si lourd, comme si les choses que je vois ont un temps de retard pourtant je vois la lueur au bout du tunnel par moments, et il m'arrive les yeux hagards de penser avec un sourire aux lèvres à tout ce que je pourrais faire, alors le brouillard semble se dissiper, je revois d'un œil nouveau ce qui m'entoure comme si tout semblait plus coloré, repeint de frais... La lumière illumine tout, et le bonheur entre à flots dans mon univers, une seule envie : rire, sourire et profiter de la vie ! Je finis même alors par penser que ce brouillard n'était qu'un rêve brumeux dû à mon imagination indomptable et pourtant un moment ou un autre, il revient pour me montrer que les idées noires ne peuvent pas être complètement anéanti, et que quand on leur laisse l'occasion de nous transpercer, elles reviennent au grand galop sans l'ombre de regret et de pitié ... [tu peux plus compter que sur toi-même et tu te sens perdu. Blesser, écraser, atteint au plus profond de ton être à l'intime de ta pulpe. Pendant des jours, une blessure sanglante qui te souille, t'avilit et qui en te dépouillant de ta dignité, te persuade que tu es un minable. Les coups de cafard. Des éboulements à l'intérieur de ton être. Rien ne semble plus possible. Ces jours où tu broies du noir. Où hébété de souffrance tu ne comprends rien à rien. Où ta vie te paraît littéralement insupportable.] Pourtant il y a toujours l'espoir même quand tout semble perdu, comme si à chaque instant je livre une bataille infernale entre mes deux côtés, oui nous sommes antithétiques ! Mais le bonheur triomphe toujours en moi, même si ce n'est que pour un temps indéterminé ... Mon cœur est toujours bercé d'espoir, même si ce ne sont parfois que des illusions ... oui moi je préfère vivre dans mon monde et être heureuse au moins de temps en temps plutôt que de toujours voir la réalité et être constamment désespéré par notre monde à nous tous ...
N'as-tu j
amais ressenti quelque chose de proche de cela ?

Entre crochet, extrait repris de Lambeaux un peu remanié, oui navrée, j'peux pas m'empêcher jamais vu quelqu'un écrire aussi bien que M. Juliet, tout ce qu'il écrit dans ce livre me semble la vérité et comme lui-même si la vie semble triste et difficile, je pense qu'il y a toujours de l'espoir et que le vie mérite d'être vécut malg tout les moments durs... pour moi ce livre est l'hymne à la vie par excellence même si tout le monde ne le pense pas !

<< Page précédente | 1 | 2 | 3 | Page suivante >>

Créer un podcast