antithese
la vie n'est au fond qu'une suite de moments d'obscure clarté
Lundi 15 juin 2009 à 21:29
J'ai perdu le désir d'écrire, ou j'ai perdu l'envie de montrer aux gens ce que je ressens au fond de moi ... je ne sais pas, je ne sais plus ou peut être que je ne veux simplement pas savoir.
J'admire le silence, je le vénère, je le désire... je ne veux plus que l'on me voie, que l'on me regarde, que l'on m'écoute peut être même !
Je vis simplement, je respire l'air intoxiqué par l'homme et je soupire ...
Je suis devenu une GE dans le coeur, la tête mais surtout dans l'âme !
Tout ce qui a lien avec l'homme m'excréte mais pas encore assez, bientôt peut être ou du moins un jour, une minute, même une seconde être libéré de l'entrave de la société et alors je me sentirais libre !
Libre de croire, de rêver, d'imaginer, une seule fois ne plus être conditionné par les autres, par le monde, par la pensée unique et je pourrais peut être créee !
Je n'ai plus d'espoir pour cette terre, plus d'espoir dans ce monde, ils nous faudraient l'abandonner, la libérer, la quitter pour lui permettre un semblant de renaissance mais je ne peux me résoudre à la quitter !
Rien que d'imaginer quitter notre mère m'est douloureux alors j'essaye de profiter, de m'exhalter de sa beauté avant qu'elle ne se fane finalement.
Elle a la beauté d'une fleur ou d'un papillon qui sait que sa vie est comptée, elle dévoile toute sa splendeur pour nous faire soupirer de désir, de passion, d'admiration et un souffle de trop, le dernier, le coup fatal porté sur elle, et elle s'effondrera sur nous, ne laissant qu'une coquille vide, qu'un tas de pétales secs et craquant, stérile, incapable de donner la moindre substance à un nouveau monde et nous seront oublier à jamais ...
En attendant elle étouffe et avec elle, je me noie dans la bétise humaine, le chagrin, l'ignorance et le dégout ...
Il faut que tu respires, et c'est pas rien de le dire !
J'admire le silence, je le vénère, je le désire... je ne veux plus que l'on me voie, que l'on me regarde, que l'on m'écoute peut être même !
Je vis simplement, je respire l'air intoxiqué par l'homme et je soupire ...
Je suis devenu une GE dans le coeur, la tête mais surtout dans l'âme !
Tout ce qui a lien avec l'homme m'excréte mais pas encore assez, bientôt peut être ou du moins un jour, une minute, même une seconde être libéré de l'entrave de la société et alors je me sentirais libre !
Libre de croire, de rêver, d'imaginer, une seule fois ne plus être conditionné par les autres, par le monde, par la pensée unique et je pourrais peut être créee !
Je n'ai plus d'espoir pour cette terre, plus d'espoir dans ce monde, ils nous faudraient l'abandonner, la libérer, la quitter pour lui permettre un semblant de renaissance mais je ne peux me résoudre à la quitter !
Rien que d'imaginer quitter notre mère m'est douloureux alors j'essaye de profiter, de m'exhalter de sa beauté avant qu'elle ne se fane finalement.
Elle a la beauté d'une fleur ou d'un papillon qui sait que sa vie est comptée, elle dévoile toute sa splendeur pour nous faire soupirer de désir, de passion, d'admiration et un souffle de trop, le dernier, le coup fatal porté sur elle, et elle s'effondrera sur nous, ne laissant qu'une coquille vide, qu'un tas de pétales secs et craquant, stérile, incapable de donner la moindre substance à un nouveau monde et nous seront oublier à jamais ...
En attendant elle étouffe et avec elle, je me noie dans la bétise humaine, le chagrin, l'ignorance et le dégout ...
Il faut que tu respires, et c'est pas rien de le dire !
Dimanche 31 août 2008 à 21:05
Je me sens sur mon ordinateur un peu comme une inconnue, il semble que je sois désintoxiqué de mon monde virtuel, quoique ... J'ai l'impression d'avoir foncée telle une furie dans les méandres obscures de la vie réelle, j'en avais vu des aspects certes avant cela mais j'avais encore la foi, je tournerai à présent dix fois mes pensées dans mon cerveau avant de les considérer comme une pensée cohérente... Pourtant rien que dans ces quelques lignes j'ai le sentiment que je relativise, moi qui trouve toujours les verres à moitié vide... J'ai même perdu quelque peu le goût d'écrire, ça reviendra ? c'est la seule chose que j'espère qui me reprendra au corps et au cœur ! Je vais cessez là c'est quelques lignes histoire de montrer que je ne suis pas encore morte malgré la vie qui m'apporte des assassinats, des suicides, des maladies, des abandons, des peurs, des pleurs, des morts, des changements, des chamboulements, des déménagements, des drogués, des éboulements et aussi des accusations de tout ceux qui ne pensent pas une seule seconde que la cause de mon silence n'est pas uniquement l'envie de ne plus parler. Les vrais amis viennent tout seuls quand l'on a besoin d'eux ... alors je n'ai pas d'amis !
Bonsoir.
Bonsoir.
Jeudi 10 juillet 2008 à 22:20
Il s'est rasé... une peau toute neuve,toute douce, ça faisait longtemps mais enfaite je m'en fous royalement, j'ai beau essayé de chercher d'où vient mon amour pour lui, j'crois que je ne serais jamais, c'est peut être mieux comme ça d'ailleurs, ne pas savoir pourquoi je l'aime et juste l'aimer, l'aimer de tout mon cœur, de toute mon âme... mais je ne l'aime pas assez, pas autant qu'il le mérite, j'voudrais pouvoir lui donner tout ce qu'il souhaite et j'voudrais que tout ce qu'il veuille c'est être avec moi, juste moi, rien que moi, toujours moi, encore et encore ! J'suis dans une période à la fois très heureuse et malheureuse à la fois... y'a des gens doué pour le bonheur et d'autres non, moi je suis douée pour rien mais avec lui, j'ai pas de mot pour décrire comment je me sens, à quel point je me sens chez moi et moi-même alors je pense que c'est ce qu'on appelle le bonheur... juste entendre sa voix, juste sentir son odeur, juste toucher ses cheveux, juste voir son sourire, juste goûter la douceur de ses lèvres enfaite non pas juste, il me faut les 5, j'ai besoin de mes 5 sens pour le savoir à moi, avec moi ! Je suis trop jalouse et possessive mais c'est ma façon de l'aimer, j'arriverais pas à la changer... je suis si heureuse et en même temps si désabusé, j'veux pas avoir la vie de mes parents, la vie qu'on nous propose, qu'on nous vend et pourtant je la souhaite si fort mais je vois autour de moi que des choses matérielles et superficielles, si seulement on pouvait vivre d'amour et d'eau fraîche alors on partirait, hein qu'on partirait ? s'installer dans un trou pommé vide de tout et on vivrait tous les deux à manger nos patates et nos poulets élevés en plein air avec des sales gosses qui nous ressembleraient un peu à courir entre nos pattes... mais non on fera nos études bien sagement pour réussir dans la vie comme il faut, on sera une jolie petite famille consommatrice dans une jolie petite maison avec tout l'électroménager et le chien qui perd ses poils mais qui se plaindra de la diminution du pouvoir d'achat en se disputant pour savoir quelle chaîne on regarde ce soir... et on se plaindra sans arrêt des collèges du bureau, du travail, des gosses, de la nounou, des corvées à faire et quand enfin on sera au lit, on s'engueulera pour que l'autre éteigne la lumière sans même un dernier câlin pour les beaux rêves ... et tout ça dans le meilleur des cas... non ? on sera pas comme ça ? on sera comment alors ? heureux ? si dans 20 tu me regardes encore avec ces yeux là ... oui moi je serais heureuse au moins quand tu me prendras dans tes bras !
